"Ununpentium" 115 - il s'avère

"Ununpentium" 115 -

[...] En 1989, Bob Lazar révélait au monde entier que le gouvernement américain procède en secret à de la rétro-ingénierie sur des OVNIS cachés dans un lieu secret nommé S4, situé à 20 km au sud de la zone 51, près de Groom Lake dans le Névada. Il déclara aussi que le fonctionnement de ces engins, basé sur l’antigravité, dépend d’un mystérieux élément inconnu, nommé élément 115. Ridiculisé et attaqué de toute part, personne ne l’avait cru à l’époque. Pourtant, en 2004, une équipe de scientifiques découvre l’existence de l’ununpentium, l’élément 115 du tableau périodique. Incroyable : Bob Lazar avait donc raison !

Robert Scott Lazar, ou Bob Lazar, né le 26 janvier 1959, est ingénieur et scientifique. Il affirme avoir travaillé entre 1988 et 1989 en tant que physicien au S4 près de la Zone 51, une base militaire secrète située dans le désert du Nevada. D’après Lazar, le Secteur 4 a été créé pour l’étude sur la rétro-ingénierie d’engins extraterrestres récupérés par l’armée américaine après la Seconde Guerre mondiale. Cependant, la véracité de ses propos a été attaquée après que « les écoles dans lesquelles il affirme avoir fait ses études reconnaissent n’avoir aucune trace de lui, et que personne de la communauté scientifique n’a souvenir de lui ». Lazar s’est défendu en affirmant que le gouvernement a cherché à effacer son existence après l’avoir démis de ses fonctions, donnant lieu à diverses théories conspirationnistes.

Selon Paris Match, le Dr. Robert Krangle, physicien et contractant externe à Los Alamos, a confirmé la présence de Bob Lazar à Los Alamos.

Tout est expliqué dans cet extrait des recherches du MUFON. Leur série documentaire (Hangar 1) à été diffusé sur la chaine de télévision : numero23

Résumé des déclarations à propos de la Zone 51

Lazar apparaît sur le devant de la scène pour la première fois en 1982, dans le Los Alamos Monitor. L’article, intitulé « Un scientifique de Los Alamos rejoint la jet-set – à 300 km/h », traite d’un dragster sur lequel Lazar affirme avoir travaillé avec l’aide d’un chercheur de la NASA. Le bolide était construit à partir d’un moteur de jet modifié et placé dans une voiture classique. Le journal présente alors Bob Lazar comme « un physicien travaillant au complexe de Los Alamos Meson ».

En novembre 1989, Lazar est interviewé à Las Vegas par le reporter George Knapp pour la télévision locale KLAS-TV. Dans cette interview, Lazar révèle avoir travaillé au Secteur 4, un lieu proche de la Zone 51, ou Groom Lake, dans le comté de Lincoln au Nevada (à environ 160 km au nord-ouest de Las Vegas). La Zone 51 est connue pour avoir été utilisée pour des essais d’armes secrètes après la Seconde Guerre mondiale.

Lazar fut amené à travailler – avec d’autres scientifiques – sur la propulsion d’un nouveau genre d’appareils militaires ressemblant aux soucoupes volantes des cultures populaires. Il pensa alors que les observations d’OVNIs étaient en réalité les vols d’essai de ces engins appartenant à l’U.S. Air Force. Mais au fur et à mesure de ses recherches et de la lecture de plusieurs documents, il parvient à la conclusion que les neufs engins entreposés à S4 étaient d’origine extraterrestre. Dans son témoignage, il explique s’en être rendu compte lorsqu’il monta à bord de l’un de ces appareils pour en examiner l’intérieur. Il eut la sensation que cet engin était construit pour une personne d’une autre morphologie que celle d’un pilote humain.

Ces extraterrestres proviendraient du système solaire Zeta Reticuli située dans la constellation du Réticule à 39 années-lumière de notre planète. La relation entre Zeta Reticuli et une hypothétique civilisation extraterrestre fut déjà mentionnée dans un cas célèbre d’enlèvement en 1961.

En 1989, Lazar explique que le carburant des soucoupes était l’élément atomique 115 (l’ununpentium), découvert 15 ans après, en 2004. Selon lui, l’élément est une source d’énergie qui permet l’antigravité lorsqu’il est bombardé de protons et produit de l’énergie par antimatière. Lorsque l’intense champ d’interaction forte de l’ununpentium est correctement amplifié, l’effet antigravitationnel produit à grande échelle permet de créer une distorsion du continuum espace-temps qui permet de raccourcir les distances et le temps de voyage pour une destination voulue.

Soupçonné par la sécurité d’emmener des amis près de la base chaque semaine pour observer les tests à basse altitude d’engins top-secrets, Robert Lazar est démis de ses fonctions en 1989. Il affirme depuis que le gouvernement américain, où une « autorité plus haut placée », a cherché à le démolir et à effacer les traces de son existence. C’est pour se protéger – par sa visibilité – que Lazar aurait donné cette interview en novembre 89.

Ce mode propulsion fait penser au moteur à plasma il faut noter que pour atteindre certaines vitesses sans se désintégrer certains vaisseaux doivent créer un écran de protection autour d'eux avec un gaz plasma c'ets à dire un gaz électrisé par des électrode produisant des étincelles comme pour les bougies dans les moteurs de voitures !

Aucun atome naturel sur terre n'a assez de protons et de neutrons pour que l'onde cumulée de gravitation A prolonge la gravitation au delà du périmètre de l'atome. Maintenant, quoique la distance à laquelle l'onde de gravitation de prolonge au delà de ce périmètre soit infinitésimal, il est accessible et elle a une amplitude et une longueur d'onde, juste comme n'importe quelle autre onde dans le spectre électromagnétique. Une fois que l'on peut accéder à cette onde de gravitation A, on peut l'amplifier juste comme nous amplifions d'autres ondes électromagnétiques.

De façon similaire, les ondes gravitationnelles A sont amplifiées et dirigées de manière à causer les distorsions de l'espace temps désirées.

Cette onde A de pesanteur amplifiée serait si puissante que la seule source naturelle de pesanteur qui pourrait faire se tordre l'espace temps de telle manière serait un trou noir.

Nous synthétisons des éléments plus lourds et instables en employant des éléments plus stables comme cibles dans un accélérateur de particules. Nous bombardons alors l'élément cible avec diverses particules atomiques et sub-atomiques. En faisant ceci, nous forçons réellement des neutrons dans le noyau de l'atome et fusionnons dans certains cas deux noyaux différents. A ce moment, la transmutation se produit, faisant de l'élément cible un élément différent et plus lourd.

Comme exemple, au début des années 80, le laboratoire pour la recherche d'ions lourds à Darmstadt, Allemagne, synthétisait un certain élément 109 en bombardant le bismuth 203 avec du fer 59. Et pour vous montrer comme il difficile est de faire ceci, ils ont dû bombarder l'élément de cible pendant une semaine pour synthétiser 1 atome d'élément 109. Et sur ce sujet, ce même laboratoire a projeté qu'à l'avenir ils devraient pouvoir bombarder le curium 248 avec du calcium 48 pour aboutir à l'élément 116 qui se désintégrera alors en une série de nucléides qui leur sont inconnus, mais qui sont bien connus des scientifiques à S4 situé dans le complexe de l'installation de Groom Lake.

La durée pendant laquelle un élément existe avant qu'il se désintègre détermine sa stabilité. Les atomes de certains éléments se délabrent plus rapidement que les atomes d'autres éléments, ainsi plus un élément se délabre rapidement, plus l'élément est considéré comme plus instable. Quand un atome se délabre, il libère ou rayonne des particules et de l'énergie sub-atomiques, qui sont le rayonnement qu'un compteur Geiger détecte.

Le réacteur trouvé dans l'engin extraterrestre allégué à S4, comme largement mentionné par le physicien Robert Lazar est principalement basé sur un élément superlourd avec un nombre atomique de 115. L'élément 115 est nommé "Ununpentium" dans des directives de l'IUPAC. Sa désignation périodique de sa configuration électronique apparaissent dans le diagramme au début de la page.

 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le FMI et l’autisme sévère du Makhzen par salahelayoubi - il s'avère

Fès: L'UEMF s'allie avec l'AFD pour créer un Agritech - il s'avère